Nous déposons les parents de Pauline à l’aéroport de Buenos Aires. Leur séjour est passé si vite, après 9 petits jours, ils repartent déjà ;-) Nous gardons en tête plein de bons souvenirs, et émus, nous poursuivons notre route vers la côte atlantique.
Il semble que tous les Portenos aient choisi ce week-end pour y faire une escapade puisqu’il est quasiment impossible de trouver un hôtel. Le seul que nous trouvons nous emmène à Las Toninas (petits tonneaux ? ce serait bien mérité après une semaine à s’empiffrer !). C’est sûr que l’arrivée de nuit n’aide pas mais franchement c’est glauque. On est même obligés de prendre la voiture pour aller manger dans la ville d’à-côté, plus animée, mais tout aussi déprimante.
Le lendemain, ni une, ni deux, on prend nos affaires et on trace vers le sud. En route, on tombe sur une super offre Booking pour un club avec une dizaine de tennis en terre battue, des piscines intérieures et extérieures, un spa, pour trois fois rien. On le tente mais on craint d’être déçus. On arrive donc à Pinamar et bonne surprise, on a une petite maison pour nous et un club entier dont on peut profiter. Alors les deux jours qu’on y passe se ressemblent entre lecture sur la plage, tennis, et spa en soirée.
On continue notre route vers Tandil, dernière étape de notre boucle. Les paysages sont à mi-chemin entre la Normandie et les Landes, et sur les routes on croise plus de gauchos à cheval qu’on en avait vu à San Antonio. Après avoir fait les quelques attractions du coin (point de vue du rocher suspendu, réserve naturelle et pique-nique au bord du lac), nous filons vers Buenos Aires pour notre dernière semaine dans les environs.